Qu’est-ce que le complément de retraite des hospitaliers (CRH) ?

retraite des hospitaliers

Le contrat retraite hospitaliers ou le CRH permet au personnel qui travaillent dans les hôpitaux et à leurs conjoints de constituer des retraites complémentaires versées au moment de ses retraites. Il y a quelques années, la loi PACTE en France a instauré un nouveau plan d’épargne de retraite (PER). Ce dernier coexiste avec l’ancien plan d’épargne retraite qui ne peut plus être côté depuis 1 an et est voué à disparaître. L’allocation de retraite hospitalière a été convertie en PER. Que signifie exactement le complément de retraite des hospitaliers (CRH) ?

Qui sont les bénéficiers sur la retraite des hospitaliers ?

Il faut noter également que les retraites des hospitaliers sont dédiées notamment aux fonctionnaires hospitaliers tels que les agents, praticiens hospitaliers publics et des personnes qu’ils soient titulaires ou contractuels. Le partenaire pacsé, concubins ou conjoint d’un praticien ou agent hospitaliers sont aussi des bénéficiers de la retraite des hospitaliers. Il faut souligner aussi que même si la retraite des hospitaliers quitte la fonction publique, peu importe leur situation, des retraites complémentaires de la fonction publique hospitalières sont ouvertes : disponibilité, démission, mutation et une cessation d’activité. Pourtant, la prestation retraite du CRH joue aussi des rôles importants. Lequel ?

Les fonctionnements du CRH

Vous devez savoir en premier lieu que les CRH sont des produits d’épargne de votre retraite en points. De plus, ce contact de garantie à vie a surtout a pour but d’une constitution retraite supplémentaire pour l’adhérant si et seulement si ce dernier est toujours en vie au terme de son contrat. À l’âge idéal de la retraite ou lorsqu’il perçoit une pension, les adhérants peuvent bénéficier d’allocations de retraites sous les formes suivantes : un capital (à l’exception de la partie provenant du transfert d’obligation de paiement qui ne peut être liquidée que sous-forme de rente), des rentes viagères versées trimestriellement ou encore de la combinaison des deux. La supplémentaire retraite des hospitaliers vous offre également une possibilité de faire un choix les taux de cotisations. Il existe 4 types de taux de cotisations : que ce soit le 2,5 %, le 3,5 %, le 4,5 % ou le 5,5 %. Les adhérents peuvent obtenir des garanties facultatives en cas de décès, telles que des options de restauration ou des rentes d’orphelin. Finalement, le CRH est aussi une aide remboursable. Dans le cadre de la mission d’action sociale, il est mentionné que des associations spécifiques comme l’Association CGOS peut apporter aux agents bénéficiaires une assistance rémunérée dans des circonstances particulières pour affronter aux situations personnelles délicates (appareillage médical, handicap, décès, difficultés familiales, endettement, dommages matériels, accident, catastrophes, etc.). Selon les conditions du plan, les fonds sociaux pour les cotisants et les bénéficiaires sont progressivement supprimés. Il sera donc fermé au plus tard dans deux ans d’ici.

Quelles sont les raisons de la souscription à une supplémentaire retraite ?

Depuis près de 6 décennies, il faut souligner exactement que le CRH accompagne plus près les agents sereinement leur avenir. De plus, cet accompagnement est vraiment indispensable : pour les titulaires et les prestataires des services publics des hôpitaux. La retraite signifie aussi une baisse de votre revenue (25 à 30 %), et la RAFP (Retraite Complémentaire de Service Public) ne suffit pas à compenser. La complémentarité retraite des hospitaliers est fidèle à ses valeurs de société et de solidarité, et à travers le plan d’épargne retraite ou le PER, permet notamment au plus grand chiffre de cumuler des revenus complémentaires après le travail. De plus, cette solution offre surtout un maximum de liberté et de flexibilité, y compris sur les modalités d’apport et de récupération de l’épargne retraite (rente, capital, chaton ou encore combinaison entre ces possibilités). En ce qui concerne son régime de base, les fonctionnaires hospitaliers en activité appartiennent à la CNARCL (Caisse Nationale des Employés des Collectivités Territoriales), et non à la caisse de sécurité sociale. Tout au long de sa carrière, chaque membre du personnel hospitalier vérifiera le dortoir, qui servira au calcul du montant de la retraite de base versée par la CNARCL. Ce n’est réellement pas calculé par les points, mais les situations de chaque agent sont personnelles. Il existe de nombreuses informations à retenir afin d’estimer plus près la valeur de cette pension.

Retraite des hospitaliers : comment faire les calculs ?

La pension complète de retraite des hospitaliers est calculée selon la formule suivante : 75 % multiplier par nombre de trimestres de cotisation ou nombre de trimestres d’assurances requis afin de bénéficier de la pension la plus élevée multiplier encore par l’indice de salaire des 6 derniers mois. Pour demander le plein montant (le montant maximum de la pension), vous devez également vérifier une assurance pour 167 à 172 trimestres. De plus, le nombre de dortoirs varie en fonction de l’année de naissance ou du droit à la retraite du personnel hospitalier et du type de travail (actif ou sédentaire) effectué. 

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